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Affichage des articles du mars 6, 2015

Invité pour confirmer sa plainte : Olenghankoy attendu aujourd’hui au Parquet Général de la République !

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Une correspondance interceptée sous la toile par votre quotidien fait état d’une invitation du Parquet Général de la République adressée au Président national des Forces novatrices pour l’union et la solidarité, Fonus, M. Joseph Olenghankoy, également Président de la plateforme Debout Congolais, DECO. Ce dernier est prié de se présenter ce vendredi, 6 mars 2015, à 10 heures 30, aux fins de confirmer sa plainte datée du 12 février 2015. Sur quoi porte-t-elle, et quelle sera son issue ? Ce sont là des questions que seul l’avenir pourra édifier l’opinion nationale. Toutefois, il nous revient de source proche des Fonus que Joseph Olenghankoy aurait porté plainte contre le Chef de l’Etat, l’accusant de ‘‘Haute Trahison’’.

LE DECOUPAGE TERRITORIAL JUGE INOPPORTUN

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S’accrocher à ce nouveau découpage est perçu comme une manière de tendre vers le glissement au delà de 2016,car il sera dans ce cas impossible de tenir les élections en respectant les délais constitutionnels Plusieurs Congolais ne cachent pas leur opposition au passage de 11 à 26 provinces en République démocratique du Congo, tel que l’exige la loi sur le découpage territorial promulguée le 28 février 2015 et jugent cette démarche inopportune quand on sait que le second et dernier mandat de Joseph Kabila expire en 2016, donc dans moins de deux ans. .

CALENDRIER GLOBAL : SAMY BADIBANGA DEMASQUE UN DOUBLE DANGER !

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c’est une deuxième grande victoire que l’opposition et le peuple congolais ont engrangée en ce début d’année 2015, avec la publication du calendrier électoral global par la CENI. En effet, la date de l’alternance démocratique en RDC a été fixée. Cette victoire fait suite à celle obtenue dans le sang des martyrs, lors de manifestations du 19 au 21 janvier 2015, à Kinshasa et en Provinces. Désormais, les élections ne seront plus conditionnées à un recensement de la population qui aurait pu faire glisser le mandat du président actuel, au-delà de son terme constitutionnel, le 20 décembre 2016. Pour autant, nous ne devons pas verser dans un enthousiasme béat. La présidentielle et les législatives 2016 dépendent étroitement de la bonne organisation des élections de 2015. Or, le calendrier électoral publié par la CENI comme par décret, sans aucun dialogue politique, est non seulement irréaliste, mais, plus grave encore, inconstitutionnel. Le spectre d’élections chaotiques ...